Le GHANA

Publié le par Phoenix

Apres deux années a ouagadougou, je quittais donc Ouagadougou, espérant aller en Belgique pour continuer mes études.Mais la vie en décida autrement.Je pris l'avion de Ouaga attérissage à Lomé au togo pour y passer une nuit (torride)  dans un petit hotel du coin,et déposer mes affaires le lendemain chez des cousin (Jessica et Germa) que je ne connaissais pas encore mais dont on m'avait donner les coordonnées(vive l'Afrique), Apres avoir déposé mes affaires, je pris la route (deux heures en mini taxi)pour  cotonou au Bénin. Apres un petit séjour à Cotonou(ou je retrouvais liansou et liliane, revis mon ancien Directeur d'école Assane SALAM, cherchais à retrouver Rosalie..), je pris à nouveaula route pour le GHANA en refaisant une escale de quelques jours à Lomé au togo. Je revis Jessica et Germa, je mangeais au pili-pili... Apres avoir pris un visa à l'Ambassade du Ghana, je rencontrais Nico, censé m'accompagner jusqu'à Accra capitale du GHANA ou m'attendais mon cousin Didas Ippet( frère de Jessica et Germa).
Didas!!!! ahhhahhh didas, mon cousin des 400 coups.

Le Ghana est un pays d'Afrique Occidentale. La langue officielle est l'anglais et la monnaie le cedi.

Le Ghana moderne n'a pas de liens géographiques ou historiques directs avec l'Empire du Ghana. Le premier, ancienne Côte d'Or, a été renommé par simple hommage au second.

L'un des principaux hommes politiques du Ghana fut Kwame Nkrumah. Le Président actuel du Ghana, John Agyekum Kufuor, vient d'être réélu pour un second mandat en décembre 2004. L'ancien nom du Ghana, Côte-d'Or, vient des très nombreuses mines d'or du pays qui, avant d'être exploitées par les colons britanniques, allemands, hollandais et français, étaient abondamment utilisées par l'ethnie Ashanti, qui garde la tradition de splendides bijoux en or, tradition qui s'est propagée aussi chez l'ethnie voisine Baoulé.

Par ailleurs, le Ghana subit aussi l'esclavage : on peut toujours visiter les forts sur la côte, dont Elmina. L'esclavage des enfants, malgré une loi interdisant cette pratique, est toujours en vigueur particulièrement autour du lac Volta.


    Accra center
    



 







La célèbre plage de labadi Beach tres animée












Le roi des  Ashanti couvert d'or          
                               
                                    
                                   


J'ai donc passé un an à Accrea avec mon cousin Didas IPPET et david dans le meme appart, dans un quartier appelé ABEKA LAPAZ.

J'ai rencontré des gens super sympas comme les filles d'osu( Aicha, Sira, Tinina),koffi (mangeur invété de beans) mais aussi des gens comme Ted MAKOUANGOU,Cindy la lébérienne ("you want tou kill may!!!!!"), Jessica , la grande Mira Ba ("ndjarabi dalaka kéna"), Ida PODA ("bonfler est un art"), Maimouna Kaba( hé! maimouna, une soirée ratée gachée au Karaoké malgré ma sublime prestation de "para bailar la bomba").J'ai découvert une culture, quelques mots (abwa, kouassia, konkonssa...); C'est à Accra que j'ai fait mon premier poulet yassa, j'ai aussi découvert les kebabs bien épicée arrosés avec de la guinness,  je goutais aussi à  mes premières bières sans alcool( que je n'aime pas particulièrement)
Les plus belles soirées  furent les soirées francophones au MACUMBA night club( Boite dans laquelle nous allions souvent et tenions toujours à appliquer la PBI).Au Macumba , je bus ma première RED BULL sur conseil de Didas(vachement efficace comme boison),  je bus aussi la AMSTEL Milk Stut, nouveauté de chez amstel en ce temps là.   

Bons moments à Accra, interrompus une fois par l'arrivée d'une des TATCHER (tatcher 1:la mère de didas tante Germaine, et tatcher ma mère). Là il fallait montrer bonne figure.

Ce fut surtout un voyage linguistique, de plaisirs et de rencontres.

Apres avoir voulu m'inscrire à l'université LAGON d'Accra, je m'envolais finalement pour Casablanca apres une escale (routière tours:3 heures en mini taxi) à Lomé. Alomé je revis Angélo Doe bruce, changé par  deux années au mali, mais pas sa super cousine qui s'était déja envolée pour la france.
Apres un passage difficile à l'aéroport de lomé(aidé par un super gendarme qui accepta le sourrire aux lèvres 10000francs CFA pour service rendu à la nation), Je pris donc mon avion Royal Air Maroc pour Casablanca avec escale à Abidjan.

Seul problème, mon passeport allait bientot expéré, et ces zélés excessifs  de la RAM ne cruerent pas bon de ma laisser partir.Apres de longues tractation, je montais dans l'avion fatigué apres une si dure journée.Pour attérir à Casablanc le lendemain matin.



 



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